Je m’en souviens comme si c’était hier. Je venais d’avoir 26 ans et cela faisait quelques mois que j’avais décidé d’explorer à fond ma sexualité. Je m’intéressais de plus en plus à l’univers BDSM et j’étais de plus en plus persuadée qu’une vraie dominatrice sommeillait en moi.
C’est comme ça que j’ai décidé de me lancer pour ma première séance BDSM. J’avais lu plusieurs articles sur la façon de bien débuter le BDSM et de mener à bien une séance de soumission. Comme j’avais de plus en plus confiance en moi, j’ai décidé de me lancer les yeux fermés.
Trouver mon premier soumis BDSM
Pour que ce soit plus simple, j’ai décidé de m’inscrire sur un site de rencontres BDSM (ça je vous en parlerais dans un prochain article !). Après avoir discuté avec plusieurs soumis et leur avoir exposé mes exigences, j’ai eu envie d’essayer avec un soumis un peu plus expérimenté. Appelons-le Manu.
Lorsque Manu sonne chez moi, je suis déjà dans la chambre, toute de cuir vêtue. Je lui crie de monter à l’étage et me dresse face à lui, chaussée de talons vertigineux.
Même si je ne sais pas exactement ce que je fais, je demande à Manu de se dévêtir. Je ne veux pas perdre la face. Je veux montrer que je suis dans le contrôle.
Juste avant de passer à l’action…
Pour ma première séance en tant que domina, je décide d’attacher mon soumis. Avant de passer à l’action, nous définissons ensemble un safe word : ‘Rouge’.
Ensuite, j’ordonne à Manu de mettre à genoux et je lui attache les mains avec un ruban rouge. J’avoue qu’à ce moment-là, j’ai quelques secondes d’hésitation mais je me reprends très vite, je suis une maitresse SM maintenant !
Premières insultes et humiliations BDSM
Je me mets à l’insulter violemment et lui crache dessus. Puis, je décide de quitter la pièce pour faire monter la pression. Après une demi-heure, je l’ai presque oublié, mais je me décide à remonter pour lui faire tester le nouveau fouet que j’ai acheté dans la journée, mon premier équipement de dominatrice !
Je commence à le fouetter assez fortement pour bien qu’il sente les lanières sur sa peau de soumis.
Finir ma première séance BDSM en beauté !
Je décide de m’arrêter après 30 coups de fouet. Puis, je demande à mon soumis de s’allonger afin que je puisse m’asseoir sur son visage. Mon but suprême : que je jouisse sans que lui puisse jouir. Et c’est comme ça que ça s’est passé !
Après la séance, je regarde Manu pour savoir ce qu’il en a pensé. Nous nous fixons quelques secondes, puis nous éclatons de rire sans raison. Il me dit que j’ai assuré, je suis soulagée ! Et j’ai déjà hâte de recommencer.
Rendez-vous pour la prochaine histoire sur… la cage de chasteté !
Cela a l’air tellement excitant ?
Vous avez assurer!