La pandémie liée à la Covid-19 a perturbé toutes nos petites habitudes. Cela a également été le cas avec les rencontres coquines. Chacun enfermé chez soi, il n’était pas possible de se voir comme par le passé. C’est là que j’ai décidé de tenter la domination à distance pendant le confinement. Voici donc ma petite histoire femdom !
Histoire érotique femdom à distance
N’étant pas forcément à l’aise avec la pratique de domination à distance, j’ai réalisé ma première séance avec un soumis que je connaissais. C’était également une première pour lui. Il a donc fallu apprendre sur le tas.
Je vous avoue que cela n’a pas été évident de se mettre dans l’ambiance. Effectivement, créer une atmosphère BDSM par écran interposé n’est pas une chose facile à faire.
Le BDSM à distance
La deuxième séance s’est mieux passée que la première. Cette fois-ci, je m’étais installée dans mon donjon et mon soumis dans sa chambre. Stores baissés, lumière tamisée… le décor était planté !
Je lui avais ordonné de se munir de quelques objets du quotidien. Mon premier ordre a été de me montrer qu’il avait bien tout préparé. Il m’a donc montré tout ce qu’il avait comme accessoire.
Une fessée BDSM à distance
L’idée peut paraître un peu incongrue, et pourtant, j’ai adoré ça ! Mon soumis possédait une petite planche à découper le saucisson. Vous n’imaginez même pas toutes les idées que cela m’a donnée. J’ai opté pour une petite fessée BDSM.
Après avoir bien positionné la caméra, mon soumis s’est mis à quatre pattes, son cul dirigé vers moi. Je lui ai demandé de se masser un peu la fesse droite et de lui donner quelques petites claques. Puis, nous sommes passés à la planche à découper le saucisson.
Dominatrice, même à travers un écran
Ce qui m’a le plus surprise, c’est que mon soumis a vraiment joué le jeu, malgré la distance. Notre relation virtuelle est restée la même que nos rendez-vous physiques. Il a su me montrer qu’il savait être obéissant, peu importe la situation.
Les différentes pratiques restent tout de même restreintes du fait de la distance. Mais c’est fou tout ce qu’il est possible de faire à l’aide d’une caméra. Au bout de quelques séances, nous avons instauré des jeux « hors ligne ».
Soumis même hors ligne
Pour pimenter nos séances, je me suis mise à donner des « devoirs » à mon soumis. Entre deux séances, il devait se filmer en exécutant certains de mes ordres. Comme par exemple se masturber sous la douche.
Je l’obligeais également à porter une tenue en particulier, se sodomiser ou s’infliger des flagellations quand je n’étais pas satisfaite…L’expérience de la domination à distance est quelque chose qui ne m’avait jamais vraiment attirée auparavant. Il a fallu être confiné pendant plusieurs semaines pour que je découvre cette facette du BDSM. Et maintenant, je réalise des séances par webcam une à deux fois par mois. Une pratique qui m’excite plus que ce que j’aurais imaginé.